« Selon nos estimations, à chaque transaction, on consulte en moyenne une quinzaine de pages Web pour chercher les informations produits, s’identifier et payer. Au total, cela représente 9.900 tonnes de gaz à effet de serre en un an. »
A l’heure où nous rédigeons ce manifeste, le monde entier est plongé dans une crise sanitaire sans fin qui a pour conséquence un boom des ventes en ligne. Le e-commerce : une belle solution oui, mais qui a un coût !
N'est-il pas l'heure de le remettre en question ?
Pour mieux répondre aux nouvelles attentes
Les consommateurs s’interrogent de plus en plus sur les impacts sociaux, environnementaux et sanitaires de leur mode de vie et de leurs achats. Sensibles aux questions climatiques, d’inclusion et de diversité, ils attendent des marques un comportement exemplaire et un engagement sur ces valeurs.
E-CO est avant tout un collectif de citoyens engagés qui ne trouve pas aujourd’hui de réponse à ces questions dans le secteur du e-commerce. Si les questions ne sont pas posées aujourd’hui, qui va répondre aux nouvelles attentes si ce ne sont pas les citoyens eux-mêmes ?
Pour identifier les meilleures pratiques
Les meilleures leçons sont celles que l’on tire à la suite de remises en question. Par ses travaux de recherche, E-CO souhaite identifier et définir les meilleures pratiques du e-commerce, pour un avenir plus responsable et plus durable de la vente en ligne.
Les leçons sont mieux perçues quand elles sont données dans un souci de bienveillance, sans culpabilisation.
On fait ce qu’on peut ! On est constructif, on est là pour aider les acteurs du e-commerce à changer, à transiter, avec l'idée de travailler en collaboration.
Chez E-CO, on a le greenwashing en horreur !
Alors nous sommes exigeants dans nos études, pour vous donner les meilleures des réponses.
Oui, le numérique est une ressource épuisable. Oui, nous subissons un dérèglement climatique. Oui, le e-commerce y contribue. Mais non, nous ne céderons pas aux lamentations. Place à l’action !
Nous sommes des professionnels expérimentés de terrain, mais on n’a pas non plus la science infuse.